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Notre Histoire


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L’Association des Réseaux de CentraleSupélec, connue sous le nom de ViaRézo, résulte de la fusion, en 2017, des deux associations présentées ci-dessous.

Elle poursuit ses activités de réseau et de développement à destination des étudiants de CentraleSupélec et accroître les compétences de ses membres dans les dernières technologies de l'informatique.


VIA Centrale Réseaux


Centrale Réseaux, plus communément appelée VIA, était une association loi 1901 créée en 1989 sous l'impulsion d'étudiants passionnés d'informatique. Leur objectif était de déployer un réseau Internet sur le campus de l'École Centrale Paris. Encouragés par l’école et grâce à l'aide d'IBM et d'autres entreprises de télécom, ils réalisèrent le premier réseau étudiant de France.

L'association a su se diversifier pour intégrer d'autres activités informatiques telles que le développement web. C'est ainsi qu'ont vu le jour : MyECP réseau social pour les étudiants du campus ainsi que Rafale, serveur hébergeant les sites Internet des associations qui le souhaitent, ou encore Webprint, service d'impression pour les étudiants. Les membres de VIA ont également développé le service de colis utilisé par la résidence de Châtenay.

C'est au sein de VIA que des projets comme VidéoLAN (asso mère de VLC) ou KVM-wrapper ont vu le jour, profitant d'un environnement propice à l'innovation. Leur succès a contribué au rayonnement de l'association dans le monde et notamment auprès des entreprises qui reconnaissent les compétences de ses membres actifs.


Supélec Rézo


Supélec Rézo était une association de réseau qui a déployé en 1991 un réseau Internet dans les résidences de Supélec à Gif et a entrepris de le rénover dès lors tous les six ans. Suite à ce succès, la même initiative s’est propagée sur les campus de Metz et Rennes.

Supélec Rézo devint par la suite un membre majeur du réseau de communication inter-universitaire Rézosup, membre fondateur de FedeRez, puis du projet ARES.

Supélec Rézo s’est également concentré sur la défense du libre, par sa participation à l’association APRIL ainsi qu'à des projets open-sources tels qu’un indexeur de volumes partagés, une interface d’administration de réseau universitaire ou encore un logiciel de pare-feu modulable.